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15 juin 2016 / 100 ans d’histoire en images New York d’hier et d’aujourd’hui
Description New York, 1858. Ayant quitté sa Pologne natale pour améliorer son sort, Youssef débarque en Amérique pour y conduire des affaires dans les ports animés de la
A New York aussi, il est venu le temps des cathédrales plus de vingt ans après son lancement en France, la comédie musicale à succès Notre Dame de Paris a été jouée pour la première fois sur les terres de Broadway, où elle a reçu des la fin des aventures de la belle Esmeralda, interprétée par la chanteuse libanaise Hiba Tawaji, et du bossu Quasimodo, joué et chanté par Angelo Del Vecchio, les spectateurs du David H. Koch Theater du Lincoln Center, une institution à New York, ont longuement applaudi la troupe et l'orchestre mercredi sa création en 1998 par Luc Plamondon et Richard Cocciante, la comédie musicale adaptée du roman éponyme de Victor Hugo a fait le tour du monde, jouée dans 23 pays et en neuf langues, mais c'est en Français, avec des sous-titres sur des écrans, que le public new-yorkais l'a découverte."J'ai toujours été amoureux de ce spectacle", raconte à l'AFP John Charitable, un chirurgien de 33 ans, qui avait découvert la comédie musicale dans son lycée, au nord de New York, en étudiant l'oeuvre de Victor Hugo. "Depuis, je regardais sur internet plusieurs fois par an si une tournée passerait par ici, et ça n'arrivait jamais ... il y a une ampleur, la profondeur de l'histoire, c'est magnifique", s' Tawaji et Angelo Del Vecchio, dans les rôles d'Esmeralda et de Quasimodo, durant la première représentation de "Notre Dame De Paris" à New York le 13 juillet 2022 / AFP "Je connaissais toutes les chansons, je connais toutes les paroles, je n'avais pas besoin de lire les sous-titres", ajoute Natalie Vitebsky, dirigeante d'entreprise new-yorkaise de 52 ans, qui attendait le spectacle "depuis 20 ans".- "humilité" -Les tubes de la comédie musicale, "Belle", "Vivre", "Danse mon Esmeralda", ont été chantés sur la scène où se produit d'habitude le New York City Ballet."Etre ici, c'est essayer avec humilité de rentrer dans ce pays ... qui ne s'ouvre pas si facilement", a déclaré à l'AFP le compositeur musical de "Notre Dame", Richard Cocciante, présent à New York pour la première des douze représentations. Pour lui, ce qui fait la longévité de l'oeuvre, qui a tourné ces dernières années en Chine, en Corée du sud ou en Russie, c'est son caractère "intemporel", une recette mêlant des références à l'époque du roman et des ingrédients plus modernes, dans les costumes, la chorégraphie, les décors ou la Lavoie gauche et Angelo Del Vecchio, dans les rôles de Frollo et Quasimodo, dans "Notre Dame De Paris", jouée pour la prmière fois à New York, le 13 juillet 2022 / AFP "Le thème principal de Notre Dame de Paris, c'est la différence humaine", rappelle-t-il. Le sonneur des cloches Quasimodo, le prêtre Frollo et le capitaine Phoebus convoitent la gitane Esmeralda dans un univers de miséreux et d'étrangers, des "sans papiers" qui demandent l'"asile à Notre Dame"."On a l'impression d'arriver quelque part. Broadway est juste à côté", savoure de son côté Daniel Lavoie, qui joue et chante Frollo depuis les débuts de l'oeuvre. Il rappelle que la comédie musicale avait bien fait un crochet par les Etats-Unis, à Las Vegas, mais "en version écourtée, tronquée, en anglais". "C'était une version édulcorée pour les Américains et qui ne représentait pas l'oeuvre telle que je la connais, je ne crois pas que ça ait marché énormément", ajoute-t-il.
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New York et ses surnoms Nous tous connaissons New York sous tant d'autres noms , sans doute, c'est en effet la ville qui a plus de surnoms que la plupart ... certains sites Web mentionnent même plus de 100 surnoms!!! Mais voyons ensemble certains d'entre eux, les plus populaires, ceux que vous avez certainement entendus plusieurs fois auparavant. La grosse Pomme Empire City qui semble dériver d'une citation de G. Washington & C'est définitivement la ville de l'empire!" La ville qui ne dort jamais La ville si belle qu'ils l'ont nommée deux fois - New York, New York et enfin, le surnom le plus légendaire , et peut-être le moins évident dans ses origines - Gotham! Gotham Batman, Knickerbocker et ses véritables origines Si Gotham City vous fait immédiatement penser à Batman et à ses aventures, cela signifie que vous ne connaissez qu'une partie de l'histoire. La première fois que Gotham City est nommé dans les bandes dessinées de Batman, c'est dans le numéro 4 lorsque l'écrivain, Bill Finger, a voulu donner un cadre plus vague et a changé le nom de Manhattan à Gotham. C'était le 1940. Cependant, bien avant Batman , on retrouve le nom de Gotham City lié à l'écrivain Washington Irving , célèbre pour ses nouvelles " The Legend of Sleepy Hollow "peut-être vous souvenez-vous de l'adaptation du film avec Johnny Depp et" Rip Van Winkle ".C'était en effet en 1807 quand Irving a surnommé la ville de New York - GOTHAM dans le magazine littéraire Salmagundi . Toujours pendant ces années, un autre surnom important est apparu - Knickerbocker. Un surnom qui est entré dans l'histoire comme le surnom des New-Yorkais, en particulier ceux d'origine néerlandaise, ainsi que le nom dont la New York Basketball Team - The Knicks - tire son nom. Il y a en fait une histoire drôle derrière la façon dont le terme Knickerbocker est né. C'est au début des années 1800 que nous trouvons quelques-unes des premières instances de "Fake News" Faux Nouvelles ...Nous sommes en 1809 et Irving publie " A History of New York, From the Beginning of the World to the End of the Dutch Dynasty, par Diedrich Knickerbocker " une satire politique de l'époque mais ce qui est incroyable c'est que pour promouvoir son livre, Irving commence bien avant la publication du livre à diffuser de fausses nouvelles à divers journaux de la ville de New York en alléguant qu ' un historien néerlandais bien connu - Diedrich Knickerbocker précisément - avait disparu de son hôtel à Manhattan. Apparemment, l'historien néerlandais-américain portait un type de pantalon jusqu'aux genoux, d'où le nom de "knickerbocker". L'histoire était assez populaire à l'époque et le terme Knickerbocker est resté un populaire surnom pour les New-Yorkais. Cependant, si nous voulons trouver la véritable origine du mot "Gotham" nous devons retourner à l ' Angleterre médiévale quand dans certains proverbes anglais nous trouvons un village appelé Gotham ou Gottam , ce qui signifie " Ville des chèvres " considérée comme un pays de fous. Assez positivement, aujourd'hui, Gotham n'évoque pas un fou village de chèvres dans l'esprit des New-Yorkais, mais si parfois il évoque la version noire rendue populaire par Batman, d'autres fois, il rappelle définitivement toutes les entreprises avec Gotham dans leurs noms ... Vous pouvez visiter le Gotham Center of New York History pour découvrir encore plus de faits amusants sur le mot conseils d'Irène Recommended Readings Si vous voulez en savoir plus sur Gotham City, je vous recommande le livre " Gotham une histoire de New York à 1898 " par Edwin Burrows et Mike Wallace. L'histoire vous ramènera dans le temps en explorant les origines de New York alors que les tribus indiennes se sont installées dans et autour de l'île de Manna-hata jusqu'à la consolidation des cinq arrondissements sous New York en 1898. Irene T. - NYC Tour Guide
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Des reliques d’un temps passé pour raconter des histoires d’immigrés. Il était une fois, New York, et des nombreuses villes dans le monde, abritait des cabines téléphoniques. Quelques tintements de pièces métalliques, des touches pressées à la va-vite et des milliers de personnes pouvaient espérer contacter la personne souhaitée. Mais ça, c’était avant qu’elles ne soient rendues obsolètes par l’arrivée des téléphones portables. Peu à peu, elles ont été délaissées et ont disparu du paysage urbain. Seule une poignée d’entre elles sont encore présentes à New York. L’artiste américain d’origine afghane, Aman Mojadidi a voulu leur redonner vie à travers l’installation Once Upon a Place. Depuis le 27 juin, trois cabines téléphoniques placées à Times Square permettent d’entendre les histoires entre 2 et 15 minutes de 70 immigrés du monde entier vivants dans différents quartiers de New York. Chine, Espagne, Ghana, République Dominicaine ou encore Brésil sont représentés. L’idée est de rendre cette expérience la plus immersive et intime possible, en confinant les personnes dans un endroit clos et calme, propice aux confidences et à l’écoute. Les visiteurs peuvent également parcourir l’annuaire téléphonique laissé dans chaque cabine pour en connaitre un peu plus sur les différentes communautés peuplant New York et même y confier une partie de leur propre histoire. Je voulais que les gens comprennent que des villes comme New York, les grandes villes métropolitaines du monde entier, sont largement contruites par les immigrants qui y viennent, y travaillent et s’y installent », a expliqué l’artiste. En effet, New York est une ville issue de l’immigration, le film de Martin Scorsese, Gangs of New York, raconte d’ailleurs une partie de son histoire. Celle d’un territoire éclaté en plusieurs faubourgs qui accueillit des flots d’immigrés, Irlandais pour la plupart, préalablement débarqués à Ellis Island, à l’embouchure de l’Hudson. Pendant 60 ans 1892-1954, l’île, et par conséquent New York, fut logiquement l’entrée principale des immigrants venus des autres continents. Un passage obligé où plus de 15 millions de personnes ont transité. La majorité des nouveaux arrivants se sont d’ailleurs ensuite installés à New York. New York est donc une ville multiculturelle issue de l’immigration, 3 millions de New-Yorkais sont nés à l’étranger. En 2065, un Américain sur trois sera issu de l’immigration selon le Pew Research Center et quelques 800 langues sont parlées dans les 5 quartiers de New York. Rien d’étonnant à ce que Big Apple fusse l’un des foyers de la contestation contre le Muslim Ban décrété par Donald Trump. La boucle est désormais bouclée. 32
Ilétait une fois à New York City, ou Once Upon a Time in New York City en version originale, est une chanson provenant du film d'animation de Disney Oliver et Compagnie, sorti en 1988.
New York est une ville qu'inventent ceux qui l'arpentent. Mais pour découvrir les légendes et les joies de Manhattan, l'Européen, ce cosmopolite romanesque, doit d'abord abandonner le misérable sens de la mesure qui prévaut dans tant de ses vieilles capitales. S'il y parvient, il entre alors dans cette dimension inédite de la vie que célèbrent ici trois remarquables romanciers dans des hymnes empreints de nostalgie et porteurs de muettes interrogations. Ce que l'Espagnol Antonio Muñoz Molina aime, à New York, ce sont d'abord les fenêtres. Du sommet des gratte-ciel de Midtown aux maisons basses mangées par les glycines du Village, les fenêtres de Manhattan offrent cette troublante originalité elles ne possèdent ni volets ni rideaux. Rectangles vides, elles dévoilent les vies intérieures en même temps qu'elles admettent le monde extérieur. Muñoz Molina révèle toute la force dramatique et la densité humaine de ces hublots aux formes de guillotine dans des pages éblouissantes, écrites après le 11 septembre 2001, où la ville joue le rôle d'une héroïne blessée risquant mille nouveaux périls à n'opposer aucune protection aux regards. Entre fascination et effroi, Muñoz Molina se promène dans les rues de New York, un carnet dans la poche. Les fenêtres sont le point de repère auquel il accroche son imagination lorsque le vertige, ce mal typiquement new-yorkais, lui fait douter de la pertinence de sa propre existence. A la tombée du jour, quand s'illuminent les lucarnes des gratte-ciel, Manhattan se transforme en firmament. Et l'on découvre que la distance qui nous sépare de ces mondes tremblotants est plus grande encore que celle qui nous éloigne des étoiles du ciel dont l'éclat, pourtant, nous parvient avec plusieurs milliers d'années de retard. Muñoz Molina esquisse une passionnante psychologie de Manhattan. Au récit de ses pérégrinations, il ajoute celui de ses amours clandestines dans la cité sans sommeil», mais aussi des considérations sur l'exil, l'exode et l'excès, ces trois constantes de l'esprit new-yorkais. Ce livre singulier, grand roman de Manhattan, est le mode d'emploi d'une ville qui change si vite que vouloir écrire sur elle revient à prétendre laisser son empreinte sur de l'eau. Muñoz Molina dissipe les craintes la vitesse à laquelle tout arrive, la précipitation des marcheurs sur le bitume, la densité de la foule, l'indifférence agressive de cette humanité concentrée sur une île dont chaque centimètre carré semble voué au culte de la rapidité, et cette verticalité qui vous colle le tournis, tout cela est une invitation à se dépasser. A aller plus haut. Si New York nous écrase, c'est pour mieux nous donner l'envie de nous battre. Là réside le secret de la formidable énergie de Manhattan ce labyrinthe est également un sanctuaire, celui de la liberté. Muñoz Molina nous apprend que si nous posons le pied à New York, nous devrons nous engager dans ses larges avenues ou ses sombres venelles avec la même détermination que Thésée s'engouffrant dans les couloirs du palais de Minos il y a, au détour des canyons de Manhattan, un Minotaure que chacun doit affronter. Ce récit magnifique pourrait bien servir de fil d'Ariane. Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement C'est un fil semblable qui manquait à l'Italien Mario Soldati lorsqu'il débarqua sur les docks de Battery Park en 1929, année noire qui allait marquer le début de la Grande Dépression et la fin du gangstérisme à l'ancienne. Le récit de Soldati est celui d'un amoureux déçu. Venu étudier à l'université de Columbia, le garçon exerça plusieurs petits métiers, se promena à Washington ou à Chicago, mais c'est à New York qu'il s'installa pendant cinq ans avant de reprendre un paquebot pour ce Vieux Continent qu'une fausse émigration» lui donna l'occasion de mieux connaître. Les premières pages du livre de Soldati sont époustouflantes on a l'impression d'entrer dans ces cartes postales en noir et blanc où un ciel d'hiver fait ressortir les détails des scènes de rue, où les fracas du métro aérien aujourd'hui disparu semblent plus présents que les concerts de klaxons du nouveau Times Square. Soldati, qui fut l'un des meilleurs romanciers d'Italie, possède un sens du réalisme qui le rend comparable à Dickens lorsque ce dernier explorait les bas-fonds du Bowery et les squats des Five Points, ces quartiers où l'émigrant qui se rêvait en Rockefeller échouait au comptoir d'un bouge plein de clochards. Manhattan n'exercera pas sur Soldati la régénération escomptée. Et son livre s'achève comme on met fin à un premier amour par une rupture de raison. Les légendes de New York, Jerome Charyn s'est donné pour mission de les raconter, livre après livre. Il les insère dans ses romans notamment dans le cycle policier d'Isaac Sidel, le flic au ténia élu maire malgré lui, dans son autobiographie de gamin du Bronx devenu écrivain de Manhattan ou dans ses essais consacrés à la Grosse Pomme. Auteur d'un livre exceptionnel sur New York à vrai dire, Metropolis* est sans doute le meilleur ouvrage, à ce jour, sur l'évolution de Gotham dans les dernières années du XXe siècle, il rend hommage, ici, aux Follies de Broadway, aux gangsters qui inspirèrent Fitzgerald et aux musiciens qui illuminèrent la Grande Voie blanche, ainsi qu'on appelait Broadway. Broadway est, pour Charyn, le lieu qui définit le mieux New York, la cage thoracique» et la colonne vertébrale» de l'île des Indiens Canaris. Mais il s'agit du Broadway d'hier, celui de la Prohibition, des bootleggers, des brigands, des hôtels de luxe et des filles pour qui l'on décimait un district entier. Mémorialiste et conteur, Jerome Charyn fait revivre les jazzmen du Cotton Club, les financiers de la pègre, les danseuses de chez Ziegfeld, les boxeurs de Harlem et les pensionnaires du pénitencier de Sing Sing... Tout flambe dans ces pages légères et gaies. Mille anecdotes savoureuses rendent New York plus vivante que n'importe quelle autre ville. Mais Charyn ne s'enferme pas dans le passé s'il ressuscite Broadway, c'est pour mieux colmater la béance laissée par l'affront du 11 Septembre. Mieux que les tours de verre que l'on s'échine à reconstruire dans une atmosphère de cirque, ce chant d'amour aux lumières de Broadway répare l'irréparable. Et ne donne qu'une envie à son lecteur s'enfoncer au c?ur du labyrinthe. * Metropolis par Jerome Charyn, Livre de poche Les plus lus OpinionsLa chronique de Marion Van RenterghemPar Marion Van RenterghemLa chronique de Sylvain FortPar Sylvain FortLa chronique du Pr Gilles PialouxPar le Pr Gilles PialouxLa chronique de Pierre AssoulinePierre Assouline
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Lors de votre voyage à New York, vous pourrez découvrir l’histoire de la ville via les monuments et les principaux sites touristiques qui relatent les événements majeurs qui se sont déroulés à New York au fil des siècles. Fondée officiellement en 1624, l’histoire de New York s’étend sur près de 400 ans et la division de la ville en cinq quartiers principaux Manhattan, Brooklyn, le Bronx, Queens et Staten Island remonte à la fin du 19ème siècle et au début du York a connu plusieurs crises, mais au fil du temps, la ville a su s’imposer pour devenir aujourd’hui la plus grande ville des USA, avec 8,5 millions d’habitants. C’est aussi l’une des métropoles les plus dynamiques du monde. Dans cet article, retrouvez les moments forts de l’histoire de New York dates importantes, faits marquants… pour ainsi mieux comprendre l’évolution de la Grosse Pomme !Sommaire1 Histoire de New York les La découverte de la baie de New York 1524 – La présence néerlandaise 1626 – La domination anglaise 1664 – L’indépendance américaine 17762 Le développement considérable de la ville 1789 – La colonisation irlandaise 1820 – La Guerre de Secession 1861 – 18653 Histoire de New York au XXe siècle 1900 – La première moitié du XXe siècle 1900 – La seconde moitié du XXe siècle 1947 – 20004 Histoire de New York au XXIe siècle des années 2000 à aujourd’huiHistoire de New York les originesL’histoire de New York commence avec les origines de la ville. Les plus anciens habitants de l’île de Manhattan sont les indiens Lenapes. Cette tribu occupait la ville avec d’autres colonies indiennes comme les algonquins. Ces tribus vivaient de la chasse, de la pêche et de la culture de haricots, maïs… A cette époque, New York était loin de ressembler à la ville actuelle les monuments, les avenues… étaient absents. Au XVe siècle, New York était une ville vallonnée et la principale trace laissée par les autochtones est le nom Manhattan » directement inspiré du terme indien Mannahatta » que l’on peut traduire par la petite île » ou île vallonée ».La découverte de la baie de New York 1524 – 1614En 1524, Giovanni De Verrazzano, un explorateur italien et premier européen à avoir posé le pied à New York arriva à New York Harbor et baptisa la baie de New York la Nouvelle Angoulême en l’honneur de François Ier, le Roi de France qui avait financé son voyage. Giovanni De Verrazzano fit une courte escale à New York. Il continua ensuite sa route en direction du noter le nom de Verrazzano est aujourd’hui celui du pont de New York reliant Brooklyn à Staten siècle plus tard, Henri Hudson, un explorateur anglais fut engagé par la Compagnie néerlandaise des Indes orientales. Henri Hudson découvrit Manhattan le 11 septembre 1609. Il fut aussi le premier à dresser la carte de ce territoire. Henri Hudson décida ensuite de remonter le fleuve jusqu’à Albany, la capitale de l’état de New York. Aujourd’hui, ce fleuve porte son nom l’Hudson ans plus tard, la Compagnie néerlandaise de Indes occidentales décida de coloniser la région. En 1614, la ville de New York fut rebaptisée la présence néerlandaise 1626 – 1664Douze ans plus tard, en 1626, Pierre Minuit décida d’acheter la colonie de la Nouvelle-Amsterdam à ses occupants en échange de 60 florins soit 24$ et de quelques bibelots. Lorsque Minuit arriva, la colonie était peuplée de 270 personnes dans un état déplorable ce qui le poussa à repousser la construction du nouveau fort bâti par Crijn situation évolua en 1647 avec la nomination de Pieter Stuyvesant au poste de directeur général de la Nouvelle-Néerlande et de les anglais ne souhaitaient pas laisser les néerlandais seuls. L’objectif des britanniques ? Étendre l’emprise de leur empire et se défendre contre les français installés au Canada. Pour se défendre, les néerlandais menés par leur leader Peter Stuyvesant organisèrent la défense de la Nouvelle-Amsterdam et construisirent un mur au sud de Manhattan en 1653. Ce mur a donné son nom à Wall anglais ne laissèrent aucune chance aux hollandais et s’emparèrent de la ville en septembre domination anglaise 1664 – 1783Cette période de l’histoire de New York commença en 1664 avec la reprise anglaise de la Nouvelle-Amsterdam. Après leur victoire, la première action des britanniques fut de rebaptiser la Nouvelle-Amsterdam en New 1673, les hollandais reprirent possession de la ville et rebaptisèrent la ville Nieuw Oranje. La ville fut remise aux britanniques grâce au Traité de Westminster en 1774 qui met fin à la Troisième Guerre les années 1700, la ville de New York se développa elle compta plus de 5 000 habitants, des installations culturelles furent créées et le commerce se américaine 1776En 1720, le premier chantier naval commença et alors que la ville se développait peu à peu, cinq batailles de la guerre d’indépendance ont eu lieu à New York, dont la bataille de Long Island le 27 août 1776. Durant celle-ci, de nombreux américains étaient retenus dans des navires-prisons situés dans la baie de Wallabout dans le quartier de Brooklyn. Beaucoup des Etats-Unis a été signée le 4 juillet noter la guerre d’indépendance opposait treize colonies d’Amérique du Nord et le Royaume de Grande-Bretagne. Elle commença en 1776 et s’acheva avec la défaite des britanniques en développement considérable de la ville 1789 – 1895Le 30 avril 1789, George Washington, le premier président américain, prête serment au Federal Hall. De 1784 à 1790, New York devint également la capitale des Etats-Unis, mais en 1790, c’est la ville de Philadelphie qui remplit ce rôle de la politique fédéraliste d’Alexander Hamilton, la ville de New York se développa de manière considérable de plus en plus de personnes décidèrent de s’installer dans la ville et 95% étaient d’origine américaine. New York devient également un grand centre économique et le secteur commercial et bancaire fut l’un des plus importants aux Etats-Unis à cette 1811, le Common Council décida d’orienter les rues de la ville d’est en ouest et les avenues du nord au sud. En 1825, le développement intérieur de la ville commença également. Le 1er janvier 1848, 40 municipalités se lièrent à Manhattan et au Bronx pour créer New York City, la première ville 1860, les premiers parcs firent leur apparition Central Park en premier, puis Riverside Park suivi de Prospect Park. Une très grande majorité de centres culturels furent aussi crées le Metropolitan Museum of Art en 1872, l’American Museum of Natural History en 1877 ou encore la New York Public Library en en 1898, les cinq quartiers de New York s’unirent pour créer le Greater New York, autrement dit l’aire urbaine la plus peuplée du territoire colonisation irlandaise 1820 – 1890Entre les années 1800 et 1840, la croissance de New York continua, mais entre 1820 et 1890, la ville fut marquée par l’arrivée d’irlandais qui ont fuit leur pays à cause de la famine. En 1820, New York devint la ville la plus peuplée des Etats-Unis avec 123 706 habitants et 1827 marqua l’année de l’abolition de l’esclavage à New la croissance urbaine de la ville fut interrompue par deux incendies un en 1835 et l’autre en 1845 et par la crise économique de 1837. A la suite de ces événements, de nouveaux bâtiments furent Guerre de Secession 1861 – 1865La Guerre de Secession ou Civil War a eu lieu entre 1861 et 1865 et opposait l’Union » les Etats-Unis d’Amérique menés par Abraham Lincoln et la Confédération » les Etats confédérés d’Amérique dirigés par Jefferson Davis. Durant cette guerre, New York a joué un rôle important puisque la ville a fourni des marchandises, des troupes et divers équipements à l’armée de l’ 1863, New York ne supporta pas l’instauration de nouvelles lois qui permettaient au gouverneur d’appeler et de recruter des soldats âgés de 18 à 25 ans. Ce mécontentement provoqua d’importantes émeutes. C’est l’épisode des Draft la Guerre de Secession, de nombreux immigrants asiatiques et européens en quête d’une meilleure vie arrivèrent à New York. Cette arrivée massive mena à la création de nouveaux quartiers Little Germany, Chinatown et Little Italy. Cette importante immigration augmenta également la de New York au XXe siècle 1900 – 2000La première moitié du XXe siècle 1900 – 1946L’histoire de New York se poursuit avec le début du XXe siècle qui a été marqué par de nombreux événements. En effet, en 1904, le métro fut inauguré et en 1913, Grand Central Terminal ouvrit ses portes après sa reconstruction. Le Pont George Washington fut aussi construit en 1931, le Holland Tunnel fut creusé entre 1920 et 1927 et des voies rapides furent élaborées au fil du en 1929, un terrible krach boursier secoua la planète. Durant le célèbre jeudi noir, une très grande majorité d’épargnants perdirent leurs économies en peu de temps. Crise boursière au départ, cette crise prend ensuite un caractère social. Face à cette situation, les new-yorkais décidèrent d’élire un nouveau maire Fiorello La Guardia qui lança un programme de construction pour faire face à la crise. Grâce à cette initiative, beaucoup de monuments furent construits l’Empire State Building, le Rockefeller Center et la célèbre skyline, connue aujourd’hui dans le monde seconde moitié du XXe siècle 1947 – 2000Après la Seconde Guerre Mondiale, de nombreux immigrants européens retournèrent à New York et en 1952, l’ONU installa son siège dans la les années 1960, l’insécurité plana à New York et de graves émeutes noires eurent lieu à Harlem. Dans les années 1970, la réputation de New York était au plus mal provoquant d’importantes conséquences dans les années 1980, la situation s’améliora lors de l’élection du premier maire afro-américain, David Dinkins et cette amélioration permit à New York de retrouver sa place de leader dans le domaine financier et économique. A Broadway, le Theater District, autrefois malfamé, se développa de manière considérable grâce au les années 1990, le taux de criminalité diminua et de nombreuses personnes décidèrent de revenir vivre à New de New York au XXIe siècle des années 2000 à aujourd’huiAu début du XXIe siècle, un tragique événement eu lieu à New York le 11 septembre 2001. Une attaque terroriste frappa la ville deux avions de ligne s’écrasèrent sur les tours jumelles du World Trade Center en plein centre de Manhattan. Le bilan de cette attaque fut tragique plus de 3000 personnes perdirent la vie, le nombre de blessés fut considérable, le site du World Trade Center fut détruit. Le 11 septembre 2001 marqua les Etats-Unis et le monde conséquences économiques furent également importantes les compagnies aériennes furent touchées par une importante crise financière et la reconstruction du site atteignit un coût World Trade Center fut reconstruit et en 2013 le One World Trade Center et d’autres bâtiments 9/11 Memorial, musée du 11 septembre ouvrirent leurs Barack Obama, en 2017 Donald Trump est élu président des Etats-Unis, une élection qui choqua New York, bastion du Parti Démocrate. Des manifestants étaient d’ailleurs déterminés à s’opposer au programme du nouveau vous avez pu le voir, l’histoire de New York n’a cessé d’évoluer au fil des années, mais tous les événements ont façonné une ville unique au monde !
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